COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU MAIRE (hier 30 novembre, 18H30 au Lagon)
                                                                                       
Chers amis Mariniens,
Voici quelques éléments, dont certains seront précisés, développés et commentés dans notre prochain bulletin :
BIOVIMER . Rien de nouveau. C’est au point mort. Le Maire a rappelé, comme l’an dernier, la situation juridique et patrimoniale du site. Le concessionnaire n’a pas abandonné le site, mais n’y fait rien.
La dernière tranche de la promenade du bord de mer, assurant une continuité pour les promeneurs depuis le Loup jusqu’à Marina, pourrait être réalisée dans les 4 ou 5 ans à venir.
Les nuisances sonores nocturnes estivales : le Maire reconduira en 2007 son arrêté d’ouverture tardive des bars de la Croisette.
La Croisette. Le Maire se réjouit des travaux en cours , en voie d’achèvement. Plus important, après sa proposition de juin dernier de prise en charge financière à 100 % de l’entretien de la Croisette en échange d’une cession à la Commune d’une partie de la voie, proposition tout juste évoquée hier soir, le Maire propose maintenant de financer à 50 % tous les travaux, la voie restant privée, mais à condition d’assurer la pérennité de l’usage public de cette voie (circulation permanente des véhicules et organisation de stationnements). La forme juridique d’une telle garantie de pérennisation de l’usage public, n’a pas été précisée. La balle est maintenant dans le camp des Mariniens, donc en l’occurrence de l’AFU.
Le problème des plaisanciers et de leurs anneaux. Le conflit entre la Sycim et la Société du Port empêche les choses de fonctionner normalement, au détriment des plaisanciers, malgré les interventions du Maire.
Le bureau de Marina Unit, et particulièrement son actuel président, ont été publiquement accusés de  « diffamation » à propos de notre communiqué du 28 juillet 2006 intitulé « Audience du Maire de Villeneuve-Loubet ». Celui-ci avait été rédigé après concertation et avait reçu l’aval de notre conseil d’administration. Vu la gravité de l’accusation, nous avons relu ce texte avec beaucoup d’attention : nous persistons et signons, nous ne changeons pas une virgule. Chacun pourra en juger s’il le souhaite, nous l’enverrons à qui voudra par la Poste, ou par courrier électronique, il suffit de nous le demander.
1 déc. 2006
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